La démarche reste identique avec l’idée de faire correspondre le titre de la fiche Google My Business (GMB) avec le site pour lequel vous réalisez des reportings.
Avec la complexité des pages de résultats Google, outre les modes de suivi « réel » et « classique », Nexboard propose un mode « enrichi » qui permet de grouper ou concaténer plusieurs positions dans un pack local. Ainsi, dans l’exemple ci-dessous, dans la mesure où le pack local est le 1er bloc avant les résultats classiques, le bloc « pack local » est considéré comme la première position avec, à l’intérieur, 3 résultats (1.1, 1.2 et 1.3).
Dans notre exemple, sur « agence de location voiture nantes », le résultat « Europcar Nantes Gare Sud » est en première position mais en 2ème place dans le pack local, soit une position 1.2 au lieu de 2 dans le mode « réel ».
Nos clients peuvent donc opter pour tel ou tel mode afin de valoriser ou non leurs résultats dans leurs reportings automatisés.
Pour conclure, prenons un peu de hauteur. Cette stratégie « zéro clic » va-t-elle se heurter aux règlements européens DMA (Digital Market Act) et DSA (Digital Service Act), lesquels visent à soumettre les GAFAs à des obligations de moyens et à des audits ? Ces règlements doivent interdire notamment de donner priorité dans les résultats d’un moteur de recherche à ses propres services. La stratégie de « zéro clic » des packs locaux Google avec l’aiguillage vers les fiches Google My Business et Google Travel passera-t-elle sous les fourches caudines du DMA et du DSA ? Impossible d’y répondre. La lutte sera rude, selon Thierry Breton, à la manoeuvre avec Margrethe Vestager, surtout contre des acteurs qui sont à la fois « too big to fail » et, pour certains, « too big to care ».